Chapitre 5: LES MATPARA DANS LES OPÉRATIONS.

 
Depuis 1946, dans les opérations aéroportées, il y a toujours eu un ou plusieurs MATPARA engagé pour le conditionnement des parachutes à personnels et à matériels ainsi que pour la récupération des matériels de parachutage et de largage sur les zones de saut. Voici quelques témoignages de personnels qui ont participé à ces opérations.
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L'opération Tacaud est une opération militaire française qui se déroule entre février 1978 et mai 1980 au Tchad. Le 17 février 1978, Faya-Largeau est prise par les bandes rebelles du FROLINAT qui progressent sur plusieurs axes en direction de la capitale tchadienne, N’djamena.
La France décide l’envoi de forces militaires pour soutenir l'armée régulière tchadienne.
   
Lancée le 1er août 2014, Barkhane est une opération conduite par les armées françaises. Elle repose sur une approche stratégique fondée sur une logique de partenariat avec les principaux pays de la bande sahélo-saharienne (BSS) : Mauritanie, Mali, Niger, Tchad et Burkina-Faso.
Elle vise en priorité à favoriser l’appropriation par les pays partenaires du G5 Sahel de la lutte contre les Groupes armés terroristes (GAT), sur l’ensemble de la BSS. Cette logique de partenariat structure les relations entretenues par Barkhane avec les autres forces engagées dans le processus de stabilisation au Mali : la MINUSMA, l’EUTM Mali et les Forces armées maliennes (FAMa).
   
La guerre d'Indochine se déroula de 1946 à 1954 en Indochine Française (actuels Vietnam, Laos et Cambodge). Elle aboutit à la dissolution de cette fédération, ainsi qu'à la sortie de l'Empire colonial français la composant et à la division en deux Etats rivaux du territoire vietnamien. Ce confit fit plus de 500 000 victimes.
   
La crise du canal de Suez, parfois appelée expédition de Suez, guerre de Suez, campagne de Suez ou opération Kadesh, est une guerre qui éclata en 1956 en territoire égyptien. Le conflit opposa l'Égypte et une alliance secrète actée par le protocole de Sèvres, formée par l'État d'Israël, la France et le Royaume-Uni, à la suite de la nationalisation du canal de Suez par l'Égypte le 26 juillet. Cette alliance entre deux États européens et Israël répondait à des intérêts communs : les nations européennes avaient des intérêts politiques, économiques (actionnaires majoritaires) et commerciaux (principalement pour le transport de pétrole) dans le canal de Suez. Israël avait besoin de l'ouverture du canal pour assurer son transport maritime, mais justifiait son intervention militaire contre l'Égypte comme étant une réponse aux attaques de fedayins qu'il subissait sur son territoire. Le renversement de Nasser était également prévu.
   
La bataille de Kolwezi est une opération aéroportée baptisée « Opération Bonite », menée par une unité de la Légion étrangère française, le 2ème régiment étranger de parachutistes (2 ème REP), ainsi que par des troupes belges et zaïroises.
Elle se déroule en mai 1978 au Zaïre, actuelle République démocratique du Congo (RDC), pour délivrer des otages européens retenus dans la ville minière de Kolwezi par des rebelles katangais.
Si l’opération réussit à libérer des otages avec des pertes militaires légères, elle ne put empêcher le massacre de 700 Africains et de 170 Européens commencé avant le déclenchement de celle-ci.
   
Les guerres de Yougoslavie sont une série de conflits violents dans les territoires de l'ancienne République fédérative socialiste de Yougoslavie entre 1991 et 2001. Deux séries de guerres se succèdent, affectant les six républiques de la défunte République fédérale socialiste de Yougoslavie. On parle aussi de « guerre d’ex-Yougoslavie », ou plus rarement de « troisième guerre balkanique ».
Ces conflits opposèrent différents groupes ethniques ou nations de l’ex-Yougoslavie. Leurs causes sont religieuses, politiques, économiques, culturelles et ethniques.
Les guerres de Yougoslavie furent les plus meurtrières en Europe depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. On estime que leur bilan humain s'élève à 150 000 morts dont deux tiers de civils, s'accompagnant de 4 millions de personnes déplacées. Beaucoup des principaux personnages clés impliqués furent ou sont poursuivis pour crimes de guerre.
 



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